19.00h, comme demandé par mon dresseur, je me
gare sur l'aire de repos de bourgambray,
et entre dans le bois, juste vêtu de ma couche en tissus encore
sèche sous ma culotte plastique transparente, une laisse accrochée
à mon collier et une pancarte autour du cou précisant mon statut de
truie pisseuse à humilier, des sac a foutre et de pissotière sur
pattes.
Une fois un endroit découvert repéré, je me
mets à genoux sur un vieux drap, accroche la pancarte à une branche
basse et me met un bandeau sur les yeux afin de ne pas savoir qui va
utiliser mes trous.
Bientôt, j'entends un bruit de pas et mon cœur
s’accélère...Une main tâte l’intérieur de ma couche, vérifie
la présence d'une cage de chasteté, puis une voix me dit :
« c'est bien, salope, tu as bien suivi
mes instruction,tu voulais être humilié, tu ne vas pas être déçu,
et pour commencer, j'ai envie de pisser, mais je vais attendre un peu
qu'il y ai du monde pour voir quelle salope tu es. En attendant,
viens me bouffer la bite, sac a foutre, je ne l'ai pas lavée depuis
plusieurs jours, tu vas te régaler »
Aussitôt, une queue bien dure et au goût
prononcé de vieille pisse et de fromage me baise la bouche sans
ménagement, sous les injures de toutes sortes :
« Vas y salope, nettoie moi la bite
correctement, montre que tu aimes cela, bouffer de la queue, passe
bien ta langue sur le bout »
En bonne salope, je m'applique à lui donner le
plus de plaisir possible, alternant des gorge profondes avec des
coups de langue, prenant parfois ses couilles en bouche, en gémissant
comme la dernière des traînée, ondulant du cul pour mieux montrer
le plaisir que j'ai à être traité ainsi.
Tout occupé à satisfaire mon mâle, je
n'entends même pas d'autres hommes approcher, jusqu'à ce qu'une
main vienne me prendre par les cheveux et m'enfourche un bite de
belle taille en fond de gorge. Je manque de m’étouffer mais je
prends immédiatement le rythme et commence à sucer cette queue
inconnue.
La voix de mon dresseur se fait entendre :
« c'est une bonne truie que je vous amène
aujourd'hui, elle porte une ceinture de chasteté sous sa couche car
elle n'est là que pour vous servir de vide couille et de pissotière,
alors ne vous gênez pas avec cette sous merde, utilisez ses trous
comme bon vous semble, sans capote et elle se fera un plaisir de vous
nettoyer la bite si elle ressort merdique de son cul .
-oui, vu la façon dont elle avale nos bites,
on voit tout de suite à quelle pute on a affaire, on va pas se gêner
pour l'utiliser comme la truie qu'elle est visiblement.
-allez salope, écarte ta couche, on a envie de
pisser, et on va te lubrifier le cul avec notre pisse, inutile
d'utiliser du gel avec une pute pareille, elle ne le mérite pas. »
J’écarte l’arrière de ma couche d'une
main et je sens aussitôt deux jets de pisse m'arroser les fesses,
trempant le lange en tissus et formant une flaque jaune au fond de la
culotte plastique, tout en continuant à sucer les bites qui se
succèdent à présent entre mes lèvres. Le sperme me dégouline sur
le menton, et de plus en plus d'hommes se pressent à présent autour
de moi. Les insultes et les mots crus se succèdent et plusieurs mecs
me pissent maintenant directement dessus, mon drap trempé de pisse
dégage une odeur ammoniaquée qui me monte droit au
cerveau,accentuant encore mon coté chienne en chaleur.
Au bout d'un moment, trempé de pisse et
dégoulinant de foutre, mon dresseur prends la laisse et me lance :
« allez, salope, debout,et prends ta
pancarte devant toi, on va aller faire un tour sur le parking »
Je me remets debout, la couche lourde entre mes
jambes me donnes une démarche de canard, et le bandeau sur les yeux
m’empêche de voir tous les hommes qui me suivent, mais j'entends
distinctement leurs commentaires vicieux et les rires gras :
« la salope !! elle se fait promener
en laisse comme une chienne et on voit parfaitement qu'elle baigne
dans la pisse.
-oui, et quand les routiers verront cette pute,
sur qu'ils en profiteront aussi.
-J'ai déjà prévenus des potes à moi qui ne
devraient pas tarder à venir la gaver de foutre et de pisse, surtout
que je leur ai envoyé des photos de la pute !
-moi pareil et ils vont amener des chiens à ce
qu'ils m'ont dit. »
puis à nouveau la voix de mon dresseur :
« allez sac a foutre, on est au milieu du
parking, et les routiers attendent leur tour, grimpe sur cette table,
baisse ta couche sur les genoux, on va s'occuper de ton trou à bite
à présent »
-oui monsieur, faites moi baiser à la chaîne
-— Petite pute, tu n’es décidément qu’une chienne lubrique, prête à se faire défoncer par tous ses trous. Ton cul est un délice, je vais en faire mon vide-couilles personnel. Et celui de mes amis aussi. L’amitié, c’est sacré !
comme la dernières de putes de bas étage, remplissez moi de foutre
à m'en faire déborder, Je ne suis bonne qu'à cela, je suis la pour
satisfaire tous les mâles sans exceptions, comme vous me l'avez
appris »
Aussitôt, les bites se succédèrent sans
interruption, passant de mon cul à ma bouche et inversement, et je
nettoyais les chibres merdeux à la chaîne, me faisant remplir au
foutre et à la pisse par tous mes trous, certains en profitant pour
me pisser directement dans la cul, rigolant de me voir recracher la
pisse comme une vache qui se soulagerait, formant une flaque
brunâtres sous moi qu'ils m'obligeait ensuite à lécher, tout en
continuant de me ramoner sans pitié ni état d'âme, Je n'étais
plus qu'un sac de viande dont on usait et abusait sans retenue,sous
le crépitement des flash et les insultes.
Je ne sais combien de temps a duré cette séance
d'abattage en public, mais à un moment donné, mon dresseur a repris
la laisse, m'a fait mettre ma couche pisseuse sur la tête, ma
pancarte autour du cou et m'a à nouveau promené ainsi à la vue de
tous, avant de me ramener dans le bois, me jetant d'un coup de pied
dédaigneux m’écrouler sur mon drap pisseux.
« cette truie est à vous pour la nuit,
faites en ce que vous voulez et ne la ménagez pas, surtout, elle
aime être humilié et souillée »
Aussitôt, la ronde des bites se succédant dans
mes trous reprit de plus belle,accompagnés de litres de pisse
jusqu’à ce que je sente une truffe me flairer mon cul, à présent
béant comme une chatte, et soudain, un chien me monta comme une
simple chienne, allant et venant en moi pendant que son maître, du
moins je suppose qu'il s'agissait de lui, me tenait la couche serre
sur la tête et me pistonnait littéralement la gorge :
« Regardez cette truie, elle se fait même
monter par nos chiens, ils vont bien en profiter, et quand on lui
aura tous donné notre foutre à boire, on lui fera sucer les chiens
qui en redemanderont, et entre deux, elle nous servira de pissotière.
Oui, on va s'arranger pour qu'elle ai tous les
trous rempli en permanence, cette crevure, et ce qui dégoulinera de
son cul, on lui fera avaler, ça lui donnera des forces.
Et c'est ainsi que j'ai passé le reste de la
nuit,rempli au foutre canin et humain mélangé à de la pisse,
obligé d'avaler ce qui ressortait de mon cul béant sous les mots
crus et orduriers qui fusaient sans arrêt, jusqu'à ce que le
dernier mâle s'en aille, me laissant brisé et repu .Je m'endormis
alors enveloppé dans mon drap pisseux jusqu'au jour levant.
N.B.Si vous voulez devenir ce dresseur et n'habitez pas trop loin de moi, contactez moi
